about
credits
released November 20, 2020
clandestine opera
composition — Alexandra Grimal
libretto — Antoine Cegarra
espace — Fabienne Verdier
choreography — Chiara Taviani
sound — Céline Grangey
Alexandra Grimal — soprano saxophone, voice
Lynn Cassiers — live electronics, voice
Sylvaine Hélary — flutes, voice
Théo Ceccaldi — violin, viola, voice
Atsushi Sakai — cello, voice
Bruno Chevillon — double-bass, live electronics
Sylvain Lemêtre — percussions, voice
Recorded in April 2017 at la scène nationale d'Orléans, mixed and mastered by Céline Grangey in Paris, in 2019.
idéogramme cover Chen Yutao
coproduction Scène Nationale d'Orléans, Fondation Royaumont, Fondation Daniel et Nina Carasso , Abbaye de Noirlac, Musiques au Comptoir, GMEA -Centre National de Création Musicale... more
credits
released November 12, 2020
Merci à Fabienne Verdier et Ghislain Baizeau, François-Xavier Hauville, Denis Augros, Christophe Quétard et l'équipe technique de la scène nationale d'Orléans, Céline Grangey, Pierre et Sophie Gastine Fischer et l'équipe de Musiques au Comptoir, Francis Maréchal, Samuel Agard et les équipes de la Fondation Royaumont, Paul Fournier, Didier Aschour et l'équipe du GMEA, Xavier Lemettre et l'équipe de Banieues Bleues, Isabelle Risbourg, Aurélie Arnaud, Antonia Fritche, Zhang Qi, Chen Yutao, Donatienne Michel-Dansac, Martina Catella, Brigitte le Baron, Frédérique Epin, Jean-Maurice Dutriaux, Geneviève Grimal Defradas.
Extraits de Presse :
"une œuvre fascinante" Fara C, l'Humanité
"Étourdissant et magistral" Jean-Dominique Burtin, Magcentre
"Une écriture magnifique et magnifiée par chaque voix soliste (...) On sort de la salle (bien remplie) sous le charme d'une oeuvre" Philippe Méziat, jazzmagazine
4 étoiles Jazzmagazine (France)
« Une musique du passage et de la métamorphose d’une vraie force poétique » Stéphane Ollivier
3 étoiles Le Soir (Belgique)
« Un opéra, comme Peter Eötvös ou George Benjamin ? Alexandra Grimal en a écrit un, qu’elle a qualifié d’« opéra clandestin ». C’est La vapeur au-dessus du riz, sur un livret d’Antoine Cegarra. (…) Il ne faut pas craindre de plonger dans l’univers déployé sur deux CD. C’est surprenant pour qui n’est pas rompu au classique contemporain. Mais il suffit de se laisser bercer par la dramaturgie, les mots chantés, les orages soudains, les apaisements et c’est beau. » Jean-Claude Vantroyen, Le Soir, Le Mad
disque "élu" Citizen Jazz
"La vapeur au-dessus du riz est au cœur de l’univers de la saxophoniste, qui troque plus souvent que jamais son fidèle soprano pour cette voix diaphane, reconnaissable entre mille. Elle nous emmène au seuil de l’invisible (...) Cette vapeur, c’est l’intangible. C’est l’impalpable. (...) «Et rien ne subsiste que l’éternelle splendeur du vide animé », tranche le livret. On ne saurait mieux conclure." Franpi Barriaux
BUZZ - Jazz News
"un espace musical et spatial entièrement dédié à l'invention de formes inédites" Pierre Tenne
"Textes en partie fantômes, donc, constituant cet opéra clandestin revendiqué, dans lequel la réalité et les rêves tendent à se confondre." Pierre Durr, Revue et Corrigée
« il sogno onirico di Alexandra viene integrato e sviscerato in base ad un’estetica ben precisa, dove la composizione è un sottile pensiero che gioca a nascondino con l’improvvisazione, la quale si palesa forte e provvida di segnali. » Ettore Garzia, Percorsi Musicali
"Généreux, maitrisé, surprenant, envoutant, faisant appel à notre propre ouverture et nos images intérieures." RTS, Suisse
"Un « opéra clandestin » : c'est ainsi que l'étincelante saxophoniste Alexandra Grimal, membre de l'actuel ONJ, présente La Vapeur au-dessus du riz. « Une fable, traversée par le politique. Une symphonie pygmée. Des voix, extensions naturelles et sublimes des êtres incarnés ici, surgissent entre les sons, se diffractent, se rejoignent. La Vapeur au-dessus du riz affirme, par le merveilleux, sa résolution pacifiste. » Michel Contat, Télérama Sortir
"Er is een zekere aansluiting met de klassieke opera maar alle conventies worden op een of andere manier aangepast, gemetamorfoseerd en eigenlijk helemaal overhoop gegooid. (…) Een voorstelling boordevol vraagtekens die barst van de metaforen en verwijzingen. De grenzen tussen wat je hoort en wat verzwegen blijft of tussen wat zichtbaar en onzichtbaar is, vervagen voortdurend. (…) Voor fans van Ictus, Ligeti..." Georges Tonla Briquet Jazz'halo
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